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  • Est-ce obligatoire de ventiler une maison ? (3/3)

Depuis que le monde est monde, depuis que l’homme a habité un espace fermé ou tout au moins protégé, depuis qu’il s’y est chauffé, nourri, protégé et ce, jusqu’au 22 octobre 1969, en tout cas pour ce qui concerne la France, nul règlement, nul décret, nulle directive en ce qui concerne le renouvellement d’air.

Jusque là, les dénominations “ventilation naturelle”, “Ventilation Mécanique Contrôlée” (VMC), “Renouvellement par Insufflation” et autres sigles décrivant des systèmes de renouvellement d’air n’existaient pas, comme s’il n’y en avait pas besoin.

Ça fait un beau bail, des millénaires !

“ … Alors, il est où le problème ?”  diront certains.

Ben oui qu’on dit nous aussi “Il est où l’problème ?”

Dans cet article, nous allons aborder plusieurs thèmes, à commencer par le rappel du “pourquoi” de la nécessité de renouveler l’air et donc de ventiler.

Ce sujet traité, nous ferons le point sur l’état actuel de la législation et, enfin, nous évoquerons ce qui, selon nous, pourrait, devrait évoluer.

Pourquoi ventiler dans une maison

Nous l’avons déjà abordé à plusieurs reprises.

Tout d’abord au plan historique, dans le cadre de l’évolution de la maison individuelle en France.

Selon le baromètre Qualitelcette recherche de confort est très forte puisqu’il ressort que 48% de ceux qui envisagent des travaux d’amélioration les réaliseront pour cette raison, ceci loin devant la 2ème motivation, la diminution des charges d’exploitation (dit autrement : “on veut bien payer, mais pour plus de confort). Une autre étude, de l’ADEME celle-ci, révèle que 80% des propriétaires qui réalisent des travaux en vue d’améliorer la performance de leur maison le font prioritairement dans cet objectif.

Nous avons aussi planché sur l’aspiration à toujours plus de confort.

Il ressort de notre étude sur le confort que celui-ci est largement tributaire du niveau de température intérieure de l’habitat, mais peut-être plus encore de la teneur en eau de l’air ambiant et de l’étanchéité de la maison.

La synthèse de ce qui précède se résume en quelques mots : pour atteindre au confortil faut que l’air ambiant soit à une température stable, qu’il ne soit pas agité par des courants d’air et qu’il soit à un taux d’Humidité Relative (HR) de 50 à 60%. Ceci n’est possible qu’en renouvelant l’air de façon correcte : en fonction des besoins pour le maintien à un taux d’HR entre 50 et 60%.

Attendu qu’on ne veut pas chauffer les moineaux, il faut isoler les parois et maîtriser les fuites parasites d’air.

Ceci posé et réalisé, il faut renouveler l’air pour ne pas subir les désagréments d’un taux d’HR trop élevé ni souffrir de la présence de COV.

Pour être efficace et ne présenter aucun risque d’atteinte à la pérennité des équipements et de l’habitat qu’il sont censés servir, pour la bonne santé des occupants, le renouvellement d’air doit répondre à divers critères.

Que dit la législation ?

Les premiers acquis notoires tendant vers le confort ont consisté en l’amélioration de l’étanchéité au vent.

A la sortie de la seconde guerre mondiale, dans l’habitat individuel, le chauffage était quasi intégralement assuré par des moyens directs, à savoir au mieux un fourneau ou un poêle, au pire une cheminée à foyer ouvert.

Pour que ces systèmes fonctionnent, il faut leur apporter un comburant, ici l’oxygène de l’air. Trop étanchéifier les bâtis nuisait à la combustion du bois ou du charbon.

Petit à petit les systèmes de chauffage sont passés à des niveaux supérieurs, des combustibles plus performants (fuel en lieu et place de bois par exemple), les appareils ont été améliorés et leur rendement a nettement progressé.

Les moyens financiers ont aussi été tirés vers le haut, nos niveaux d’appréciation du confort ont également progresséles combustibles sont devenus plus rares, plus précieux et donc plus chers.

Tout ceci a entraîné une évolution des bâtis, particulièrement au plan de l’étanchéité au vent.
Cependant, dans le même temps, grâce à des gains de productivité, grâce aussi à l’utilisation forcenée des combustibles fossiles, l’homme a gagné du temps disponible (on travaille plus vite la terre avec un tracteur qu’avec des bœufs; il n’est plus nécessaire de produire un maximum de légumes soi-même via un jardin, on achète des légumes produits sous serre chauffée, on les transporte; on se déplace infiniment plus vite avec un véhicule à moteur qu’à pied ou même à vélo … et tant d’autres exemples).

Ce temps non utilisé à faire face aux besoins primaires nous a permis d’en disposer pour des loisirs, dont une partie vécus à la maison.

Si on cumule ce qui précède avec les activités et gains en confort nouveaux tels que bains, douche, cuisine, lessive … on produit beaucoup plus de vapeur d’eau dans nos intérieurs qu’autrefois.

Ceci a généré des pathologies inconnues ou moins courantes auparavant et le législateur a dû préconiser divers dispositifs de salubrité publique.
La toute 1ère règlementation concernant le renouvellement d’air relevait de l’arrêté du 14 Novembre 1958. Il imposait un renouvellement pièce par pièce.

La 1ère législation imposant une circulation d’air et son renouvellement abordé dans la globalité du logement  est l’arrêté du 22 oct 1969Il imposait l’obligation de renouvellement d’air globale mais n’en définissait pas les volumes de renouvellement.

Ces débits minimaux ont été fixés par l’arrêté du 24 mars 1982. Cet arrêté a été amendé à plusieurs reprises, s’adaptant à l’évolution des équipements développés mais, à ce jour, les grandes lignes ont peu changé. Ils ont surtout veillé à imposer des volumes minimum dans le cadre de machines hygro-variables.

Obligations liées à la législation

L’arrêté du 22 octobre 1969 imposait, pour les habitats exposés à un environnement bruyant et dont il fallait tenir les fenêtres closes de prévoir un système assurant la circulation de l’air dans l’habitat en vue d’y maintenir un bon niveau de salubrité ainsi qu’une obligation de renouvellement d’air.
Extrait de cet arrêté :

“ L’aération des logements doit pouvoir être générale et permanente au moins pendant la période où la température oblige à maintenir les fenêtres fermées et la circulation de l’air doit pouvoir se faire principalement des pièces principales vers les pièces de service.

En conséquence, le système d’aération doit comporter :

Des entrées d’air dans toutes les pièces principales, réalisées soit par des orifices en façades, soit par des conduits horizontaux ou verticaux, soit par un dispositif mécanique ;

Des évacuations d’air dans les pièces de service, au moins dans les cuisines, salles de bains et de douches, cabinets d’aisance et séchoirs intérieurs lorsque ceux-ci fonctionnent par ventilation, réalisées soit par des conduits verticaux à tirage naturel, soit par un dispositif mécanique pouvant assurer un renouvellement d’air d’environ une fois le volume des pièces principales par heure dans les conditions climatologiques normales d’hiver … 

Il ne fixait pas de volume d’air à renouveler par heure et quelques années plus tard, après constat de ses limites, un nouveau décret, celui du 24 mars 1982, est venu suppléer ces carences.

La principale évolution consiste en la détermination du renouvellement minimal par pièce, soit selon son usage, soit selon son volume et, en fonction du nombre de pièces, de déterminer un volume minimal de renouvellement pour l’ensemble du logement.

Tableau synthétique de ce que l’arrêté du 24 mars 1982 consolidé à sept. 2018 impose

Coût d’exploitation du renouvellement d’air d’un logement de 100 m2 habitables

Nous ne pouvons pas développer un article sur les raisons du renouvellement d’air dans une maison et les évolutions que nous aimerions voir s’opérer au plan législatif sans aborder l’une des objections les plus souvent rencontrées : “ça consomme de l’électricité et met l’air chaud dehors, air qu’il faut réchauffer”, sous-entendu : “ça entraîne un coût d’exploitation non négligeable !”

Nous avons dans un ancien article abordé ce sujet et ne rappellerons ici que les résultats des calculs.

Nous avons volontairement retenu le système probablement le plus pénalisant sur le plan financier, une VMC simple flux consommant 25Wh. Nous avons pris pour exemple une habitation de 100 m2, de plain pied.

Les résultats sont (valeurs 2018, électricité à 0,14€/kWh, prix moyen du kWh de réchauffage de l’air : 0,11€) :

  • consommation électrique propre de la VMC : 31€,
  • coût du réchauffage de l’air : 132€,
  • coût total annuel : 163€

A noter que, hormis pour les systèmes à double flux tel que nous l’avons développé ici ci-après, à volume équivalent, l’air renouvelé engendrerait la même dépense de chauffage quel que soit le système de renouvellement retenu.

S’il est un point que nous souhaitons souligner, c’est bien celui de l’électricité consommée par les machines elles-mêmes qui, en cumul, représenteraient au plan national : 25W x 24h x 365 j x 20 millions de logements = 4,4 Terawatt/heure.

En terme de rapport aux consommations totales d’électricité en France, à savoir 440 TWh toutes consommations confondues et 158,6 TWh pour les sites résidentiels, nous arrivons à 1% de toute l’électricité française et 2,77% de l’électricité dédiée aux sites résidentiels.

Ce que nous aimerions voir évoluer

Nous avons décrit ci-avant les textes qui régissent la gestion du renouvellement d’air dans l’habitat individuel.

L’arrêté de référence date de … mars 1982, plus de 36 ans ! Certes il y a eu des évolutions à la marge, mais que sont-elles par rapport à l’évolution de l’habitat et de l’environnement dans lequel nous vivons ?

Avant les souhaits, les faits !

Les évolutions sont nettement plus qu’à la marge, que ce soit au niveau de l’habitat et de nos façons de l’exploiter ou au niveau de l’élément extérieur qui nous impacte dans nos vies, le climat.

Evolutions de l’habitat

Nos maisons sont de plus performantes thermiquement, il y a un monde entre ce qu’était une maison conforme à la Réglementation Thermique RT 1982 et celle qui régit les constructions neuves d’aujourd’hui, la RT 2012. Les baisses de consommation successives ont été, au fil des réglementations, les suivantes : le passage de la RT 1982 à la RT 1988, objectif d’une baisse de la consommation d’énergie de 20%; de la RT 1988 à la RT 2000 : objectif de baisse de 20%; de la RT 2000 à la RT 2005 : objectif de baisse de 15%; de la RT 2005 à la RT 2012, passage de 150 kWhep (kWh énergie primaire) à 50 kWhep, apparition, pour la 1ère fois, de la nécessité d’atteindre un volume de fuites d’air maîtrisé.
Le confort n’est pas en reste :

  • attendu que nous souhaitons vivre au moins aussi confortablement aujourd’hui qu’il y a 36 ans,
  • attendu que le niveau de confort idéal ressenti se situe entre 50 et 60% d’HR,
  • attendu que nous sommes plus enfermés dans nos habitats, que nous y émettons de plus en plus de vapeur d’eau …

Nous devons trouver des moyens d’atteindre un niveau de confort acceptable. Pour ce faire, nous avons 2 possibilités, soit nous renouvelons l’air intérieur en prenant en compte ces nouvelles données, soit nous chauffons nos maisons de quelques degrés de plus.

N’ayant pas fait évoluer l’option 1, c’est à dire gérer de façon optimale le renouvellement d’air, nous chauffons et constatons que la température légale en France, 19°, est de plus en plus non respectée, atteignant plutôt, en moyenne, 21 à 22°.

Evolution du climat

Ce n’est malheureusement pas un scoop, le climat se dérègle !

Nous pensons que l’hiver, les choses ont assez peu évolué, nous avons même gagné un peu en terme de température extrème, donc plus de facilité à contrer les méfaits hivernaux.

Par contre, l’été, nous connaissons de plus en plus de périodes de canicule et en connaîtrons de plus en plus. Il faut bien le reconnaître, notre législation n’est pas du tout adaptée à ces nouvelles contraintes. C’est d’ailleurs normal puisque la Température Intérieure Conventionnelle (TIC) est apparue en 2005. Elle concerne la gestion de la température d’été et a été reconduite lors de l’apparition de la RT 2012. Attendu que ce critère n’existait pas en 1982, le législateur n’en n’a pas tenu compte … et comme l’objectif est plus de construire en respectant les règles, normes et autres contraintes plutôt que de rechercher le confort et la performance les meilleures possibles, les évolutions climatiques n’ont pas été prises en compte.

Volumes d’air renouvelé

La législation actuelle impose de renouveler l’air de façon quasi linéaire, heure par heure, sans prise en compte des conditions extérieures.

Dans l’immense majorité du temps, cela ne pose pas de problème. Voyons les choses un peu dans le détail, saison par saison.

Au printemps et l’automne

Les températures sont tempérées. Il fait à peine plus froid à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Les teneurs absolues en eau sont relativement faibles à l’extérieur, l’air neuf puisé à l’extérieur en vue de renouveler l’air intérieur est légèrement réchauffé. La prise en compte du bioclimatisme et les meilleures performances thermiques des maisons ont permis de limiter les besoins de chauffageLa chaleur naturelle apportée par le soleil et l’exploitation des divers équipements de la maison, ordinateurs, électroménager ou autres, souvent pourvoyeurs de calories peuvent être suffisants. L’air entrant est réchauffé et voit donc son humidité relative baisser, ce qui lui permet de se charger de l’eau en excès dans l’habitat sous forme de vapeur d’eau. Ainsi cette eau peut être évacuée en même temps que l’air extrait.

L’hiver,

Les températures extérieures sont inférieures à celle de l’intérieurl’air y contient donc moins d’eau en valeur absolue. Lorsqu’il arrive à l’intérieur, il est réchauffé et, comme expliqué ci-avant pour le printemps et l’automne, il va permettre d’évacuer l’eau en excès dans l’habitat.

Tout va donc bien pour ces 3 saisons, par contre …

L’été,

En période caniculaire, l’air extérieur très chaud peut contenir beaucoup d’eau sous forme de vapeur et, si on le fait entrer à l’intérieur de façon inconsidérée, attendu qu’il y fait plus frais qu’à l’extérieur, cet air va s’y refroidir. Il se peut que, dans ces conditions, de l’eau se condense sur les parois car la température de point de rosée y serait atteinte. Au lieu de gérer correctement l’air, on voit qu’il est possible, au contraire, de générer des pathologies dans l’habitat.

A ce sujet, nous avons  à la fois des relevés effectués cet été 2018, précisément en période caniculaire, qui mettent ces possibilités en exergue et, d’autre part, le témoignage, via un commentaire dans un autre article, d’une personne qui en a subi les conséquences.

Il serait judicieux de réguler différemment le renouvellement d’air pendant ces périodes.

Il faudrait, lors de la teneur en eau la plus élevée dans l’air (en journée, lorsque la température est la plus élevée), limiter le renouvellement d’air au stricte minimum nécessaire en vue d’évacuer les COV, CIOV et micro-particules qui pourraient s’y concentrer.

Ceci présenterait le triple avantage de ne pas charger l’air intérieur en eau, de continuer à évacuer de façon correcte les COV et CIOV et de ne pas faire pénétrer de l’air chaud alors même qu’il est souhaitable de conserver l’intérieur frais.
A contrario, la nuit, lorsque la température extérieure a baissé et que l’air extérieur est moins chargé en vapeur d’eau, il faudrait renouveler l’air en grande quantité.

A nouveau, on aurait un triple avantage : l’évacuation des calories en excès à l’intérieur, l’évacuation de la vapeur d’eau et l’évacuation des COV et CIOV.

Moyens pour le gérer

Les solutions ne manquent pas pour gérer un tel système.

Il pourrait être pré-programmé et activé via des sondes extérieures, piloté par domotique ou déclenché par un système de pilotage à distance.

Évolution réglementaire

Il serait bon que l’arrêté du 24 mars 1982 soit complètement refondu et repensé en fonction des nouvelles contraintes et des évolutions nécessaires de gestion sus-développées.

Échapper au diktat de ce qui semble devenir une nouvelle religion : les VMC DF

Comme nous l’avons développé ci-avant, chiffres repris d’un développement argumenté dans un autre article, le coût d’exploitation maxi du renouvellement d’air via un système basique de VMC SF s’établit à 163€ par an.

Pourquoi alors quasi imposer l’installation de machines à la fois beaucoup plus coûteuses, beaucoup plus complexes à installer et d’un entretien plus pointu, délicat et coûteux qui, dans le meilleur des cas et sans panne, nécessiteront quelques 25 à 30 ans d’amortissement, c’est à dire probablement plus que leur durée de vie ?
Ceci s’ajoutant à une nécessaire étanchéité au vent supérieure, donc plus coûteuse, faute de quoi leur rendement en serait affecté.

Auto-production de l’énergie d’exploitation

En faisant le choix de machines simples, on ferait aussi le choix de machines faiblement consommatrices d’électricité et donc aisément alimentables en électricité via un panneau photovoltaïque et un stockage limité à une batterie, ceci afin de faire face aux éventuelles périodes sans soleil.

Ceci permettrait de faire considérablement baisser les quelques 4,4 TWh évoqués ci-avant et nécessaire à leur fonctionnement.

Un mythe : le puits canadien

Certains présentent le puits canadien, provençal ou climatique comme un moyen de renouveler l’air. Il n‘en n’est rien, c’est simplement un système de récupération de calories (l’hiver) ou de limitation de d’apport de calorie (l’été).

Nous ne lui dénions pas quelques intérêts, mais il n’est qu’un moyen d’améliorer un système, pas un système en soi.

Conclusion

Ventiler représente sans conteste une avancée majeure dans la gestion des habitats, ceux-ci étant par ailleurs de plus en plus occupés longuement en nombre d’heures par jour, de plus en plus soumis à de fortes émissions de vapeur d’eau, de plus en plus exposés aux COV et CIOV et de plus en plus étanches.

Aucun système n’est parfait, aucun n’est absolument dénué d’intérêt.

Cependant, celui qui est présenté comme LA SOLUTION ultime, l’aboutissement du concept, loin d’être au-dessus du lot tel qu’il nous est souvent présenté pourrait même, dans bien des cas, n’être pas le plus pertinent.

Par ailleurs, loin d’être arrivés au summum de ce qui devrait nous permettre de rendre nos habitats encore plus performantes, plus confortable et sains, il faudrait saisir les autorités de tutelle afin qu’elles fassent évoluer la législation pour permettre l’adaptation du renouvellement d’air aux nécessaires évolutions évoquées au fil de cet article.

Crédit photo : Pexels de Pixabay

Claude Lefrançois


Après 30 ans dans le bâtiment, ancien charpentier, ancien constructeur, ancien maître d’œuvre, formateur dans le bâtiment, expert en analyse des bâtis anciens avant travaux, auteur de nombreux articles et d’un livre “Maison écologique : construire ou rénover” aux Ed. Terre vivante, auteur de 2 ebooks disponibles sur mon blog, je suis désormais retraité.
Je mets mon temps disponible et ma liberté d’expression à votre service : j’observe et j’analyse, au besoin je dénonce ou émet des idées.
Bonne lecture.

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